Stanislas Cotton est l'auteur "engagé" du Théâtre de l'Est parisien pendant toute la saison. Son contrat prévoyait la création d'un texte écrit pour la circonstance. Stanislas a choisi d'évoquer un sujet auquel il est particulièrement sensible : la dislexie et son cortège d'interprétation, dans la vie et à l'école.
Ce lundi, c'était donc la première de ce spectacle mis en scène par Anne Contensou et joué par les comédiens "maison".
Beau succès de foule (surtout des adultes) et spectacle pour le moins "tonique et inventif", avec encore quelques boulons à reserrer sans doute, mais une grande générosité théâtrale pour évoquer ce sujet qui touche un enfant sur dix en France.
J'ai hâte de le voir parfaitement rodé, devant un public d'enfants auxquels il s'adresse (mais pas exclusivement).
J'étais bien entendu en pays de connaissance pour partager la fin de soirée et célébrer aussi la sortie de la pièce chez Lansman dans notre collection "Théâtre à Vif".
Stanislas et Catherine Anne, directrice du Théâtre de l'Est parisien.
Jean-Gabriel Carasso, auteur de plusieurs ouvrages chez nous et Bernard Grosjean qui se prépare à entrer dans le catalogue
avec un important livre sur les ateliers théâtraux
produit avec l'association Promotion Théâtre
Aux côtés de Stanislas, Anne Contensou qui constitue, avec Marine Haulot (Belgique) et Carole Lorang (Luxembourg),
un bataillon de jeunes metteur(e)s en scène
à qui je prédis un bel avenir
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