A quelques kilomètres de chez moi se dresse le château de Seneffe (voir la visite du 11 août). Dans ses dépenses s'ouvre chaque été un "Collègue des traducteurs" où une bonne vingtaine de... traducteurs, par définition, viennent travailler avec la possibilité de rencontrer les auteurs belges qu'ils ont choisi de faire connaître dans leur propre langue.
Une belle occasion pour moi de leur présenter le CED-WB et la maison d'édition dans un cadre particulièrement plaisant.
Ce qui porte ses fruits puisque par exemple, ce dimanche, une rencontre était planifiée entre Thierry Debroux, son traducteur bulgare (Kasimir Kavaldjiev)... et son éditeur.
Les quatre pièces en cours de traduction ont été passées en revue pour expliciter des expressions particulières impossibles à transférer littéralement dans une langue étrangère. Ce qui a donné lieu à de belles discussions et à quelques bons mots - ah ces "bougres cathares". Dans la bonne humeur bien sûr, facilitée par une bonne bière de la région.
Même notre amie Françoise, directrice du Collège, a fini par se mêler aux réjouissances lexicales.
Les quatre pièces devraient paraître à l'automne en Bulgarie. Ce qui confirme une fois plus l'intérêt que l'étranger porte à nos dramaturges belges, et en particulier à Thierry Debroux.
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