
18h30. Déjà de retour à Limoges (et que personne ne s'imagine que j'ai emprunté un hélicoptère de la gendarmerie) ! Je découvre avec intérêt le travail de Soeuf Elbadawi MORONI BLUES. Une véritable découverte que la situation complexe des Comores, un "pays de lune égaré en terre indianocéane". Ce "poème visuel" m'a donné fichtrement envie d'en savoir plus sur la situation complexe évoquée avec force par Soeuf et son complice musicien Bako Mourchid.
Pour terminer la soirée, j'ai revu avec grand plaisir RUE DU CROISSANT qui était cette année au Théâtre des Doms durant le festival. Petite crainte au début devant l'immensité du plateau pour un homme seul. C'était sans connaître la capacité d'adaptation de Mohamed Ouachen. La salle était pleine à craquer, avec des adultes mais aussi des groupes de jeunes. Les réactions ont été parfaites, contrairement à ce qui s'est apparemment passé lors d'une représentation précédente.
Pour terminer la soirée, j'ai revu avec grand plaisir RUE DU CROISSANT qui était cette année au Théâtre des Doms durant le festival. Petite crainte au début devant l'immensité du plateau pour un homme seul. C'était sans connaître la capacité d'adaptation de Mohamed Ouachen. La salle était pleine à craquer, avec des adultes mais aussi des groupes de jeunes. Les réactions ont été parfaites, contrairement à ce qui s'est apparemment passé lors d'une représentation précédente.
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