mardi 4 octobre 2011

A Paris le matin, aux Comores le soir.. ou presque !

En fait, je suis surtout à Paris ce mardi sur l'insistance de la SACD et du CNT qui souhaitaient que je participe à l'une des quatre demi-journées de leur colloque voulant mettre en évidence les dispositifs de soutien aux auteurs. Belle initiative et public très fourni pour la rencontre sur les rapports à l'édition. Heureux d'avoir retrouvé à mes côtés sur le plateau notamment la très sympathique Sabine Revillet pour trois tours d'horloge qui n'ont pas vraiment été marqués par la culture de langue de bois !   :o)

18h30. Déjà de retour à Limoges (et que personne ne s'imagine que j'ai emprunté un hélicoptère de la gendarmerie) ! Je découvre avec intérêt le travail de Soeuf Elbadawi MORONI BLUES. Une véritable découverte que la situation complexe des Comores, un "pays de lune égaré en terre indianocéane". Ce "poème visuel" m'a donné fichtrement envie d'en savoir plus sur la situation complexe évoquée avec force par Soeuf et son complice musicien Bako Mourchid.


Pour terminer la soirée, j'ai revu avec grand plaisir RUE DU CROISSANT qui était cette année au Théâtre des Doms durant le festival. Petite crainte au début devant l'immensité du plateau pour un homme seul. C'était sans connaître la capacité d'adaptation de Mohamed Ouachen. La salle était pleine à craquer, avec des adultes mais aussi des groupes de jeunes. Les réactions ont été parfaites, contrairement à ce qui s'est apparemment passé lors d'une représentation précédente.

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