samedi 22 février 2014

Septième journée au festival A PAS CONTES à Dijon

10h30 : LA BELLE ESCAMPETTE / Articulture - L'idée de plonger dans le cabinet de deux demoiselles "à disposition du Roi" (faut-il avoir l'esprit mal tourné pour trouver la situation ambiguë ?) et d'apprendre comment elles tentent de se libérer progressivement du poids de cette "éducation à l'obéissance" est plutôt sympathique. Le faire en musique et chanson l'est aussi. Mais je reste pourtant personnellement sur ma faim à plusieurs points de vue.

Etre à Dijon pour un festival, c'est aussi découvrir (comme dans beaucoup d'autres villes françaises) les vertus d'un tramway d'une grande efficacité. Avec en prime un investissement important pour promouvoir l'événement. Et dire que chez nous, en Wallonie, on a enterré les trams sur un coup de tête au temps où le "tout voiture" était de rigueur. Grrrrr !!!


15h00 : LES MAINS DE MON PERE / L'Arrière-Scène - J'ai revu également ce spectacle avec plaisir. L'univers singulier de Serge Marois dans ce deuxième volet d'une trilogie commencée avec LA ROBE DE MA MERE. Belles réactions du public très mélangé en ce début des vacances.
Fin d'après-midi dans les valises, puis un pot de mi-parcours dans les locaux de l'ABC. Pour moi, c'est plutôt un au-revoir puisque je changerai de terrain de jeu demain dimanche.

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